Jacques Marcout s’est éteint ce dimanche. Outre sa longue expérience de communicant, il était aussi un fervent défenseur de la cause animale.
Alors que tous les journalistes étaient ce dimanche soir en Préfecture pour la soirée électorale, l’information sur le décès de Jacques Marcout s’est propagée comme une trainée de poudre au sein des rédactions lyonnaises.
Quel journaliste n’a pas eu à faire avec cet homme de communication. Il y a trois ans, il dirigeait encore Prisme Consulting et son pôle Europe, basé place Bellecour.
Jacques Marcout, le communicant
Mais sa carrière avait débuté dans les années 80, à la communication d’un Collomb que les plus jeunes n’ont pas connu (Francisque).
Son côté serviable, son efficacité, sa capacité de s’adapter à n’importe quel interlocuteur ou interlocutrice, allaient le propulser dans un carrière de communication hors-norme.
Marcout avait travaillé ensuite aux côtés de Michel Noir et était resté fidèle à Lyon.
Jacques Marcout, c’était le professionnel de la communication, l’homme de tous les réseaux, le facilitateur de contacts, le booster d’événements… notamment aux côtés de son frère Pierre.
Ces dernières années, après avoir cédé ses parts dans Prisme à Virginie Decia-Mathiolon, il s’était consacré au coaching et avait fait de l’hypnose sa spécialité.
Mais Jacques avait aussi un côté militant moins connu. Adhérent au Parti Animaliste, il avait rejoint les listes de David Kimelfeld en 2020 lors des élections métropolitaines.
Jacques Marcout, le fervent animaliste
Ce dernier avait pris des engagements en cas d’élection pour la défense du bien-être animal, comme l’interdiction des cirques avec animaux, l’attribution de subventions aux associations défendant les animaux et le refus de subventions aux associations de chasse. Le nom de Marcout figurait sur la liste Lyon Centre.
Pour en savoir plus sur le parti Animaliste, c’est ici
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