Les Lyonnais ont pu le voir galoper en vrai : Zeus, le cheval métallique de la cérémonie d’ouverture des JO 2024 est à Lyon. Il sera exposé dans la cour de l’Hôtel de Ville jusqu’au 2 avril. Inès Krimi s’est rendue auprès ce grand équidé bourré de technologies.
Ça y est, Zeus a galopé pour la première fois à Lyon. Le cheval métallique avait marqué les esprits lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 en galopant sur la Seine. Désormais, il sillonne le pays grâce à une tournée dans huit villes, qui s’achèvera dans sa ville de conception à Nantes. Mais pour le moment, c’est dans la cour de l’Hôtel de Ville de Lyon qu’il a posé ses sabots, où il restera jusqu’au 2 avril.
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De quoi faire revivre l’esprit des Jeux Olympiques selon le maire de Lyon, Grégory Doucet.
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Dans la continuité des Jeux Olympiques et Paralympiques, et des festivités lyonnaises…
« D’abord, c’est un objet magnifique, et dans cet Hôtel de Ville, je trouve qu’il a trouvé un très bel écrin. C’est un honneur et ça nous permet de nous rappeler tout l’esprit olympique et paralympique qu’on a vécu l’été dernier. On avait accueilli la flamme paralympique et là, on prolonge le plaisir. On nous avait beaucoup parlé d’héritage des Jeux. Et c’est une forme d’héritage que l’on peut accueillir aujourd’hui. J’en suis très heureux. » explique Grégory Doucet.
Et il n’est pas le seul à en être ravi. Si Zeus est arrivé le 17 mars au matin, sa présentation officielle au public n’a commencé qu’à 18h. Les Lyonnais sont venus nombreux à cette inauguration, véritable évènement et spectacle.
Pour rappel, Zeus sort de l’atelier Blam, studio d’architecture et de design nantais. Aurélien Meyer, son fondateur et directeur artistique, est très satisfait du début de cette tournée.
« Bravo aux Lyonnais et aux Lyonnaises pour cette qualité d’accueil, c’est juste hallucinant. Très heureux qu’une entreprise française comme la nôtre, qui défend des valeurs fortes dans l’excellence, soit mise en avant. C’est lunaire de connaître un succès aussi grand et c’est un plaisir immense pour moi et mon équipe » s’enthousiasme Aurélien Meyer.
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Une sculpture durable
« Les prémices de Zeus, c’est une discussion avec Thierry Reboul, et on a essayé de trouver des solutions pour rendre tout ça possible. Parce qu’un cheval au galop, c’est super, mais un cheval au galop sur la Seine, c’est une autre histoire. C’est une sculpture qui est durable : ce n’est pas un objet éphémère, ni un objet événementiel. C’est une structure qui a été construite pour durer le plus longtemps possible. Donc l’engagement est total. »
Une sculpture durable, et ça ne fait que commencer. Si vous souhaitez vous aussi, voir le célèbre cheval en métal, 10 dates sont prévues entre le 17 mars et le 2 avril. Elles sont à retrouver sur le site de la Ville de Lyon. Le calendrier est ici
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